On such a peaceful night [pivi Brooke]

Invité

Il était près de 22h, et comme d'habitude en ces premiers soirs d'automne, la nuit était tombée assez vite, si bien qu'elle régnait déjà sur la petite ville, qu'elle avait enveloppée de son sombre manteau. Seuls les quelques réverbères éclairaient le quartier résidentiel de Tree Hill, faiblement soutenus par la lune qui, ce soir, avait bien du mal à se frayer un chemin entre les nuages qui formaient de longues formes vaguement repérables dans le ciel noir. L'air était délicieusement frais et l'odeur délicate de la fraicheur nocturne s'accordait parfaitement avec l'atmosphère intimiste de cette soirée Tree Hillienne, portée par la légère brise qui venait alléger la chaleur de la journée passée.
Cette journée, M. White n'était pas mécontent de l'avoir passée. Il avait téléphoné la veille à sa mère -comme il le faisait chaque soir- et les nouvelles avaient été particulièrement mauvaises. Depuis la mort de la petite soeur de Gregory, alors que ce dernier avait 18 ans, Mme White vivait des moments très difficiles. Après ce drame, elle trouva refuge dans l'alcool, qui l'aidait à oublier la plus grande tragédie de sa vie, l'espace d'une soirée. Mais comme le souvenir revenait le lendemain, il fallait se remettre à boire. Dès le déjeuner. Puis dès le petit déjeuner. Jusqu'à ne faire que ça de la journée, boire pour essayer d'oublier, et pleurer de ne pas y arriver.
Greg portait un amour incommensurable à sa mère, et son état dépressif était la seule vraie raison pour laquelle il n'avait d'abord pas voulu quitter Memphis et donc sa mère, quand on lui avait proposé le poste de professeur d'économie à Tree Hill. Mais après huit longues -trop longues- nuit passées à se torturer l'esprit, notre professeur avait pris la décision d'accepter le poste, conscient que la petite ville lui apporterait les nuits paisibles qui lui manquaient tant; il savait que prendre un peu le large était la seule façon d'essayer de surmonter la dépression de sa mère adorée, l'endettement de ses parents, la mort de sa petite soeur, décédée 15 ans plus tôt, et celle de sa femme, morte elle seulement un an auparavant.
Pourtant, s'il avait quitté sa ville natale, Greg était loin d'avoir coupé les ponts. Tous le soirs, donc, il appelait sa mère, restait le plus longtemps possible avec elle au téléphone, essayait de savoir ce qu'il en était vraiment de son état malgré les efforts qu'elle faisait pour cacher sa détresse; il tentait de la soutenir comme il le pouvait, essayait tant bien que mal de la résonner; et surtout, surtout, continuait de l'aimer. Seulement voilà, la fragile Mme White n'allait pas mieux, au contraire. Son état physique se détériorait de jour en jour. Affaibli par l'abus d'alcool depuis des années, l'organisme de la mère de Greg avait de plus en plus de mal à tenir le coup. Et quand, la veille, c'était son père que Greg avait eu au téléphone, il avait compris que les choses allaient particulièrement mal. M. White avait expliqué d'une voix tremblante à son fils que sa mère avait été internée à l'hôpital de Memphis, que c'était sa dernière chance. Évidemment, Greg n'en n'avait pas dormi de la nuit. Pendant toute la journée qui avait suivi, il avait été hanté par cette bien triste nouvelle, et ses cours avaient été difficiles à mener. C'était donc avec un certain soulagement que Gregory était rentré chez lui, où il n'avait pas à transmettre son savoir avec enthousiasme alors que le coeur était loin d'y être...
Il était 22h, donc, et Greg venait de finir de dîner. Avant cela, il avait corrigé des copies... et appelé chez lui. Son père lui avait donné les dernières nouvelles: sa mère était toujours à l'hôpital, où on lui avait fait commencer un traitement pour son foi et suivre un programme de désintoxication, ainsi qu'une thérapie de groupe... Les thérapies de groupe... quelles conneries. Greg avait toujours pensé que c'était totalement inutile, qu'on se foutait littéralement du monde. Mais c'était malheureusement tout ce qu'il restait à faire pour sa mère...
Après avoir terminé de débarrasser sa table de veuf trentenaire (xD), Greg avait pris le livre qu'il lisait en ce moment, l'économie ne ment pas, et après avoir enfilé un pull en cachemire noir sur sa chemise blanche, notre professeur était sortit sur le perron de sa maison. Greg adorait faire ça; il appréciait particulièrement les soirées un peu fraiches comme celle-là mais qui restaient douces, ni trop humides ni trop lourdes. Après avoir allumé les petites lumières qui éclairaient les quelques marches devant sa maison et la courte allée qui menait à la petite porte blanche en bois qui marquait le début de sa propritété, Gregory s'avança de quelques pas, et s'assit sur la premières des trois marches qui montaient jusqu'à la porte d'entrée de sa maison. Là, assis sur cette première marche, il appuya son dos contre une des deux colonnes qui encadraient le perron.
Spoiler:
Il ouvrit alors son livre et fut surpris d'en voir tomber un petit bout de papier rose, qui ramassa afin de lire ce qui y était écrit:

"Anytime. Anywhere.

456-823-9874"

Un sourire amusé se dessina alors sur ses lèvres, et il replaça le papier au début de son livre, ayant deviné l'expéditeur du message ô combien subtile... En effet, même s'il n'était là que depuis quelques semaines, il avait déjà reçu des avances de bon nombre d'étudiantes. Et particulièrement d'une certaine Vanessa Jones, dont il devinait que c'était le numéro. Bien entendu, il ne planifiait nullement de céder à ces propositions. D'abord parce qu'il n'avait absolument pas la tête à cela... mais aussi parce qu'il trouvait ces pratiques plus ridicules qu'autre chose. Bien sûr, elles le déridaient et après tout c'était peut-être ce dont il avait le plus besoin en ce moment, mais ces filles étaient à ses yeux si peu subtiles, si peu intéressantes! Cependant, Greg leur pardonnait leur manque de tact: après tout, elles étaient aussi si jeunes...
Après avoir remis le papier, Greg débuta enfin la lecture de son ouvrage; pourtant, dès les premières lignes, il se sentit partir et se mit à repenser à sa mère... la soirée n'était à priori pas partie pour être gaie...

Il était dans les environ de 22heures et Brooke avait décidé quelques minutes plutôt d'aller faire un tour pour pensé à cette journée qui venait de se déroulé ! C'était un journée très richeen émotion, et une des journées qui restera à jamais graver dans la mémoire de Brooke. Mais Brooke ne savait pas si elle devait la mettre dans ces journées, qui ont été les pire de sa vie, vu qu'à l'annonce de son mariage avec Lucas, elle a perdu sa meilleure amie, qui elle est toujours amoureuse de son mari, et puis surtout on va dire que se mariage ne fait pas non plus l'unalimité ... Mais elle ne savait pas si elle devait la mettre dans ces journées, qui ont été les meilleures de sa vie, car depuis ce soir, elle peut enfin dire au monde entier, qu'elle est marié avec Lucas Scott, plus besoin de mentir à tous vas et à tous le monde, plus besoin de se caché pour vivre plainement leur amour ! Et puis désormait, Brooke pouvait mettre son alliance tous le temps, et enfn dire qu'elle s'appel Brooke Davis Scott ! D'ailleurs cela lui fesait toujours aussi bizarre, mais dans le bon sens du terme ...

Comme je le disais un peu plus haut, Brooke avait envie de se vidé la tête et de faire le tri de ce qui c'était passé quelques heures plutôt.
Alors que Mme Davis Scott, flânait dans les rue de Tree Hill, en pensant à tous et à rien, elle passa devant une très belle maison, elle s'y arreta et l'admira! Brooke aimerait bien en avoir une comme celle là avec Lucas, la jeune femme s'avanca dans l'allée de la maison, afin de mieux l'observé, puis elle vit un homme d'une trentaine d'année, on peut le dire un séduisant trentenaire ! Mais ne vous y prémnier pas, Brooke aime plus que tous Lucas, et on peut le dire dans un sens, elle lui a prouvé en l'épousant, sachant qu'elle allait perdre son amitié avec Peyton, sa meilleure amie !

- Votre maison est sompteuse!
Oh excusez moi, enfin je trainait dans les rues de la ville, et quand j'ai vu votre demeure, je l'ai trouvé ... heu ... Wahou !

Brooke riait, mais de nerveusité, se n'était pas vraiment son genre de s'invité dans une propriété, surtout à une heure aussi tardive ...

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